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De tous temps, celle que l’on surnomme la Ville Lumière fut une source d’inspiration inépuisable pour les écrivains, poètes ou chanteurs. Des jolis mots de l’illustre Victor Hugo au phrasé d’Edith Piaf et de Joséphine Baker, en passant par la poésie de Jacques Prévert ou l’éloquence du Général de Gaulle… Laissez-vous enchanter par ces belles citations indémodables sur Paris, notre si belle capitale…
Les plus belles citations sur Paris
- Respirer Paris, cela conserve l’âme » – Victor Hugo, les misérables
- Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment d’un aussi grand amour » – Jacques Prévert
- « J’ai deux amours, mon pays et Paris, par eux toujours mon coeur est ravi » – Joséphine Baker
- « C’est beau l’amour. Surtout à Paris, la nuit, quand tout le monde regarde et que personne ne voit. » – Thomas Day, Stairways to hell
- « Ajoutez deux lettres à Paris : c’est le paradis ! » – Jules Renard, Journal
- « Peut-être Paris ne vaut-il que par ses provinciaux ? » – François Mauriac, La province
- « Paris est la capitale des divines tentations » – Zoé Valdés
- « Être parisien, ce n’est pas être né à Paris, c’est y renaître » – Sacha Guitry
- Le vrai parisien n’aime pas Paris, mais il ne peut vivre ailleurs. » – Alphonse Karr
- « Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé mais Paris libéré ! » – Général de Gaulle
Respirer Paris, cela conserve l’âme » – Victor Hugo, les misérables
- « Le coeur de Paris, c’est une fleur, une fleur d’amour si jolie que l’on garde dans son coeur, que l’on aime pour la vie. » – Charles Trenet, au coeur de Paris
- « C’est comme ça ! À Paris, même s’il n’y a plus rien à voir, il y a encore tout à imaginer ! Il n’est pas n pas de porte où il ne se soit passé quelque chose ! » – Clémentine Portier-Kaltenbach, les secrets de Paris
- « Et le métro qui flânait sous Paris, doucement s’élance puis s’envole sur les toits de Paris » – Édith Piaf
- « Si vous avez de la chance d’avoir vécu jeune homme à Paris, où que vous alliez pour le reste de votre vie, cela ne vous quitte pas, car Paris est une fête » – Ernest Hemingway
- « À Paris, tout le monde veut être acteur; personne ne se résigne à être spectateur » – Jean Cocteau
- « Qui attaque Paris attaque en masse tout le genre humain » – Victor Hugo, 5 septembre 1870, Pendant l’exil
- « Sous le ciel de Paris s’envole une chanson, elle est née d’aujourd’hui dans le coeur d’un garçon. Sous le ciel de Paris marchent les amoureux, leur bonheur se construit sur un air fait pour deux. » – Edith Piaf, sous le ciel de Paris
- « Le parisien ne vit que dans le présent, le provincial vit surtout dans l’avenir et souvent avec ferveur dans le passé. » – Augusta Amiel-Lapeyre, Pensées sauvages
- « Il est cinq heures, Paris s’éveille… Je n’ai pas sommeil » – Jacques Dutronc, Il est cinq heures, Paris s’éveille
- « Car le vent quand il vient à Paris n’a plus qu’un seul soucis, c’est d’aller musarder dans tous les beaux quartiers de Paris » – Yves Montand, à Paris
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Quoi ?
Cette citation tirée du roman 1Q84 (2009), expose la coexistence simultanée de l’ombre et la lumière. A certains moments de nos vies, lorsque l’ambivalence n’est pas évidente, nous avons tendance à percevoir une situation obscure comme étant “uniquement” obscure, tandis qu’avec un nouveau regard, celle-ci pourrait rassembler en puissance les conditions potentielles d’une opportunité resplendissante.
Le phénomène du crépuscule restitue la dynamique entre “le jour” (lumière) et “la nuit” (obscurité) ; et l’aube celle de la “nuit” vers le “jour”. De la lumière vers l’obscurité, de l’obscurité vers la lumière. L’une ne peut pas exister sans l’autre.
Pourquoi ?
Des principes, des énergies opposées régissent nos vies, et nous pouvons en faire non pas des antagonismes, mais des synthèses. Il est en effet possible, en transposant cette dialectique féconde entre “la lumière” et “l’ombre” à certains aspects de nos vies, d’approfondir notre rapport au monde et d’éclairer nos manières d’agir et de réagir.
Qui ?
– Les personnes qui ont tendance à voir les situations “soit tout blanc, soit tout noir” et à qui cela joue des tours
– Les personnes qui ont des idées très radicales et arrêtées sur leurs habitudes et leurs valeurs et qui souhaitent prendre du recul
– Les personnes qui souhaitent conscientiser certains biais culturels et cognitifs
– Les personnes qui n’arrivent pas à réconcilier certaines contradictions de leur vie
– Les personnes intéressées par la politique, les sciences, la philosophie, et qui souhaitent élargir leurs perspectives
Comment ?
En éduquant notre regard à percevoir les ambivalences, la complexité, la multidimensionnalité, l’évolutivité de toute chose, nous avons l’opportunité de :
Repenser les rapports entre cultures (Orient et Occident, Nord et Sud, …) : nos biais ethnocentriques, consistant à ramener les usages, philosophies et les spiritualités d’autres cultures à sa propre vision du monde, influencent plus ou moins consciemment nos pensées, nos décisions et nos actions
Repenser les rapports femmes / hommes et au genre : dans toute relation personnelle, professionnelle, nos conceptions de ce qui est masculin et de ce qui est féminin peuvent être limitantes
Repenser les rapports humain / machine : dans nos vies immergées dans la technologie, nous avons tendance à privilégier l’utile”, le “rapide”, l’“efficace” sur ce qui est plus “lent”, voire « contre-productif » en termes de temps et de résultats
Repenser les interactions entre les objectifs économiques et les objectifs humains : en entreprise et dans la société, la valorisation d’un certain type de performance peut éclipser certaines réalités biologiques, psychologiques, sociales et certaines considérations éthiques
Redéfinir la relation entre le court terme et le long terme dans notre société fondée sur le consumérisme : nos choix quotidiens, individuels et collectifs, ont des impacts, à une ou plusieurs générations, sur la biosphère
Ce qui donne…
Face à ce qui nous paraît différent, bizarre, incompatible, impensable, absurde, voire révoltant, nous pouvons oser remettre en question notre vision du monde, et créer de nouveaux possibles.
En illustration de cet article, une peinture nihonga par Hiramatsu Reiji “Giverny, l’étang de Monet ; bruit du vent (détail)”.
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