Étude à la loupe d’un timbre de la poste allemande de 1 Reichsmark datant du 12 mai 1946.
La philatélie est l’art de collectionner les timbres postaux et timbres fiscaux, et de les étudier. Les collectionneurs et les amateurs de timbres sont des philatélistes.
Historique du mot
[
modifier
|
modifier le code
]
Jusqu’au début du XXe siècle, la collection de plis, d’enveloppes, d’empreintes postales et de timbres-poste (à partir de 1843) se nomme couramment la « timbrologie »[1].
Le terme « philatélie » est attribué à Gustave Herpin dans la revue Le Collectionneur de timbres-poste du . Il est créé à partir des mots grecs philos (ami) et ateleia (l’exemption de taxe). En Grèce, c’est le mot telos (taxe) qui est utilisé, notamment dans le titre de la revue Philotélia de Stephanos Macrymichalos[2]. Le mot « timbromanie » est jugé péjoratif par le même Herpin.
Le mot « philatélie » a été préféré à celui de « timbrologie » en raison de sa meilleure adaptation, du fait de ses racines grecques, à un emploi international. « Timbrologie » subsiste cependant encore dans le titre de la plus ancienne des revues philatéliques françaises encore publiée L’Écho de la timbrologie, créé en 1887.
Natures des collections
[
modifier
|
modifier le code
]
Très souvent, un collectionneur se spécialise. Il opte alors pour certains axes de collection :
- Timbres-poste neufs.
- Timbres-poste oblitérés.
- Timbres-poste sur pli ou enveloppe.
- Timbres-taxes, de poste aérienne, pour journaux, préoblitérés, timbres pour colis postaux, etc.
- Enveloppes « premier jour » (appelées aussi « FDC », de l’anglais « First Day Cover »), entiers postaux.
- Variétés (timbres comportant un défaut de fabrication, ou fabrications spéciales ou essais de couleur).
- Timbres erronés (dates, noms, lieux, inversion de clichés, de couleur, etc.).
- Premiers jours d’émission.
- Timbres-monnaie.
- Carnets ou feuilles de timbres, bords de feuilles, timbres accolés à de la publicité…
- Blocs feuillets, épreuves de luxe…
- Carte-maximum (maximaphilie).
- Courriers commémoratifs divers (première liaison aérienne, etc.).
- Par thèmes (voir philatélie thématique).
- Par pays.
- Par époque.
- On parle de philatélie fiscale quand il s’agit de timbres fiscaux.
- On parle de « préphilatélie » pour les documents postaux avant l’apparition du timbre-postal.
- Les oblitérations sur les timbres, ou les marques postales antérieures à l’apparition du timbre font aussi l’objet de collections (marcophilie).
- Astrophilatélie : raconte l’histoire de l’exploration de l’espace avec des timbres et des enveloppes timbrées. C’est l’intersection de l’espace et de l’histoire postale. Les enveloppes oblitérées à la date et dans un bureau de poste proche de l’agence de contrôle sont utilisées dans les expositions postales pour partager le développement et la conquête du cosmos.
Matériel de présentation
[
modifier
|
modifier le code
]
Pour présenter une collection :
- L’album est un ensemble de pages imprimées sur lesquelles sont présentés les timbres collectionnés. Les pages de timbres étaient autrefois séparées par des serpentes destinées à protéger les timbres les uns des autres. Elles ont généralement disparu des albums actuels.
- Les charnières sont de petits supports gommés à double face qui permettent de coller les timbres sur les pages d’album et de pouvoir les retourner pour observer le verso. Elles ont été progressivement délaissées depuis quelques décennies en raison des traces qu’elles laissent au verso des timbres. Elles sont actuellement le plus souvent remplacées par des bandes et pochettes en PVC fin (sans plastifiants acides), la surface arrière (noire ou transparente) est gommée au dos, le timbre est maintenu par un rabat transparent à simple ou double soudure, ainsi il est protégé sans laisser de traces.
- Le classeur est un ouvrage sur les pages duquel sont collées des bandes transparentes sous lesquelles, le collectionneur glisse les timbres. Cet ouvrage sert à classer, conserver les timbres en attendant leur rangement définitif.
- L’exposition. Le collectionneur peut y participer dans le cadre d’une association de philatélistes. Il présente alors une partie de sa collection selon un pays, un thème ou un format de son choix ou imposé pour le concours…
Matériel de manipulation
[
modifier
|
modifier le code
]
Le philatéliste utilise certains instruments :
- Une pince à timbre (ou pincette) à bout recourbé ou droit pour saisir les timbres sans abîmer les dents.
- Une loupe ou un compte-fils pour examiner les détails du timbre et repérer, soit les éventuelles détériorations (dents manquantes, déchirures, amincis…) qui en diminuent ou suppriment la valeur philatélique, soit les variétés (différences d’impression entre les timbres d’une même planche, ou entre les tirages), qui au contraire peuvent en accroître la valeur.
- Un odontomètre pour mesurer la dentelure, c’est-à-dire le nombre de dents aux deux centimètres (sur l’inventeur de cet instrument, cf. Docteur Jacques Legrand).
- Une lampe UV qui permet de détecter les variétés de papier, de fluorescence ou de phosphorescence.
- Un signoscope appareil optique électrique utilisé pour déceler les filigranes, marques se trouvant dans le corps du papier, ou les réparations.
- Un micromètre : appareil de mesure de l’épaisseur du papier.
Matériel de documentation
[
modifier
|
modifier le code
]
L’outil de base est le catalogue de timbres qui recense les timbres émis et en donne les cotes, le plus souvent par pays ou groupes de pays. Les principaux éditeurs en sont : Cérès (France), Dallay (France), Yvert et Tellier (France), Darnell (Canada), Domfil (Espagne), Facit (Suède), Michel (Allemagne), Scott (États-Unis), Stanley Gibbons (Grande-Bretagne), Zumstein (Suisse). Des associations de négociants éditent également des catalogues nationaux, telles que celles de Belgique et l’Association suisse des négociants en philatélie.
Il existe aussi des catalogues spécialisés, notamment en thématique, ou pour les diverses catégories d’oblitérations.
La cote des timbres mises dans les catalogues est un prix indicatif, basé sur sa rareté et sa demande. Elle est différente selon l’état du timbre (neuf, oblitéré, présence ou non de charnière, centrage…). Très souvent, les timbres se négocient à un prix inférieur à cette cote.
La gestion d’une collection peut être facilitée par l’utilisation de logiciels sur CD-Rom ou de sites spécialisés.
Pour approfondir un sujet, divers ouvrages de documentation sur les timbres et la philatélie existent également, les uns généraux, les autres spécialisés sur des sujets plus délimités tels que les carnets de timbres ou les oblitérations.
Les articles des revues philatéliques et les sites internet des associations philatéliques et administrations postales tel que Philinfo pour la France permettent de suivre l’actualité philatélique.
Lieux où trouver des timbres
[
modifier
|
modifier le code
]
Il existe plusieurs façons d’acquérir un timbre :
- le courrier ayant voyagé (en 1900, la France avait déjà traité 1 653 378 000 lettres ou opérations et les États-Unis presque 4 milliards
[
3
]
) ;
- les administrations postales et selon les pays dans certains commerces tels que les bureaux de tabac, kiosques à journaux ;
- les marchands de timbres : dans leur négoce, en vente à prix nets ou lors de ventes sur offres (qui disposent souvent d’un magasin et d’un service par correspondance) ;
- les échanges entre amis ou entre adhérents d’une association ;
- les bourses de ventes ou d’échanges ;
- les sites d’achat-vente ou d’échange sur internet, ainsi que les sites des administrations postales ;
- les salons philatéliques, notamment le Salon d’automne Porte de Champerret début novembre et le Salon de printemps (dans une ville de province).
- dans le 9e arrondissement de Paris, particulièrement rue Drouot où un grand nombre de boutiques de philatélistes sont présentes.
Lieux où vendre ses timbres
[
modifier
|
modifier le code
]
Il existe plusieurs façons de vendre un timbre :
- les ventes enchères comme Drouot ou encore en brocantes organisées entre particuliers (voir instructions de la loi française)
[
4
]
- les ventes entre amis ou marchands de timbres, avec un prix à négocier.
- les forums sur internet pour établir un échange physique réel ou par courrier postal.
- les boutiques philatéliques ou encore passer par des sociétés de succession pour céder le bien.
Notes et références
[
modifier
|
modifier le code
]
Sur les autres projets Wikimedia :
- Adrien Aron, Les Secrets de la philatélie, Calmann-Levy, Paris, 1959.
- Pierre Chauvigny, La Philatélie, Ouest-France, 1992.
- Dominique Buffier, Roland Granier, Pierre Jullien, La Philatélie, PUF, coll. Que sais-je ?, 1999.
- Michel Mary, Histoire des postes belges des origines à la libéralisation, Encre du temps (ISBN
9782960106107
), Tubize, 2010.
- Serge Renaudeau et Pierre Kohler, La Philatélie, Minerva 2005.
- Christophe Bodard, Les Mots de la philatélie, Regain de lecture 2008
- Le Monde des timbres pour les philatélistes en herbe, de Jean-Michel Billioud, éditions Gallimard Jeunesse
Une collection de timbres-poste peut-elle avoir une valeur ?
« Qu’est ce qui fait la valeur d’un timbre? »
Dans un entretien avec le journaliste Stéphane Jobert, le Président-directeur Général des Éditions Yvert & Tellier, M. Benoît Gervais, nous parle de la valeur des timbres, évoquant trois cas mythiques au sein de la philatélie mondiale :
• le « 1 Franc Vermillon » français (France n° 7 – Yvert & Tellier),
• le « Black Penny » britannique (Grande-Bretagne n° 1 – Yvert & Tellier)
• et les fameux « One Penny et Two Pence » mauriciens (Ile Maurice – Colonie britannique n° 1 et 2 ).
M. Gervais nous explique notamment ce qui fait fait la rareté d’un timbre. Outre son âge, c’est sa valeur faciale, son tirage et surtout ses éventuels défauts de confection qui le rendent exceptionnel.
« Combien vaut ma collection ? », « si je la vends aujourd’hui, quel prix vais-je pouvoir en obtenir ? »
Ces questions sont très courantes et légitimes chez le collectionneur ou même chez celui qui récupère – notamment par héritage – une collection de timbres ou de plis. La valeur de la collection se fonde en fait sur plusieurs critères : la rareté, la qualité, la demande.
La rareté des pièces se détermine en consultant des catalogues philatéliques généralistes ou spécialisés. Si cette rareté est connue pour tout timbre-poste en général, elle est plus subjective dans le cas d’une lettre ou de tout objet postal. Les conseils d’une association philatélique ou d’un négociant expert membre de la CNEP sont parfois nécessaires. Pour un timbre-poste, la qualité est définie par le bon état (dentelure correcte, gomme impeccable pour les timbres neufs, centrage correct) qui fait de ce dernier un timbre « premier choix ». Cette qualité est plus aléatoire pour une lettre. Il est donc difficile de déterminer sans se tromper la valeur réelle d’un timbre ou d’une collection, quelques timbres exceptionnels ou un pli rare en font parfois la valeur. Reste enfin la demande sur le marché philatélique, elle aussi aléatoire, à l’exception des pièces rares ou célèbres qui trouvent toujours preneur.
Les catalogues : outil indispensable du collectionneur de timbres pour estimer la valeur de vos timbres
Pour identifier ses pièces, connaître leurs particularités et, bien sûr, estimer sa collection,
Comment ça marche ? Un index alphabétique thématique, en début de catalogue, permet en général de retrouver un timbre dans le déroulé du catalogue. Les timbres sont classés par pays dans un ordre chronologique. Selon le catalogue, on va retrouver l’année d’émission du timbre, son sujet, son mode d’impression, sa valeur faciale, sa dentelure, le tirage, voire les noms du dessinateur et du graveur, son usage postal, et enfin sa date de retrait. Les éditeurs de catalogue attribuent au timbre un numéro. Grâce à lui, chaque timbre est identifiable par tous les collectionneurs du monde. Ils reproduisent en général le timbre-poste soit en couleur, soit en noir et blanc.
Ils établissent une cotation du timbre : deux cotes sont attribuées à chaque timbre selon qu’il est neuf ou oblitéré. Depuis son édition 1996, le catalogue Yvert & Tellier a introduit une troisième colonne pour les émissions entre 1900 et 1959. La colonne de gauche concerne donc les timbres neufs avec gomme impeccable, celle du milieu les timbres neufs avec traces de charnière, celle de droite les timbres oblitérés. La cote est une base de transaction pour échanger et vendre. Elle constitue un ordre d’idée de la valeur d’un timbre mais n’est pas un prix.
Depuis l’avénement du multimédia, les éditeurs déclinent leur catalogues sur cédérom et sur internet. Yvert et Tellier propose une version en ligne de son catalogue : En plus de proposer une partie de son catalogue, celui-ci permet de gérer selon différents niveaux de classement un ou plusieurs collections de timbres avec possibilité d’éditer une mancolise. L’estimation et la valeur des collections en sont ainsi grandement facilitées.
Faut-il expertiser ou non les timbres ?
Les timbres-poste s’échangent, mais ils se vendent aussi. Pour en connaître la valeur, les négociants philatéliques peuvent aider le collectionneur. Rassemblés au sein de la Chambre Syndicale des Négociants et Experts en Philatélie (CNEP), ils sont présents dans les expositions ou au marché du timbre à Paris (le Carré Marigny). Au sein de la CNEP, certains négociants sont experts et peuvent apporter une aide efficace au collectionneur qui souhaite connaître la valeur de sa collection, d’un timbre-poste de sa collection ou d’un pli. Les consulter permet souvent de savoir si la pièce que l’on croit d’une grande valeur l’est réellement ou non : ce sont des spécialistes compétents et ils s’engagent dans leur expertise par un certificat authentifiant votre timbre-poste ou votre objet postal.
Expertise ou estimation ?
Deux termes qui recouvrent deux réalités différentes mais vont souvent de paire. Faire expertiser une pièce permet d’en faire valider l’authenticité. L’expert, après examen, signe ladite pièce ou le timbre (au verso), chaque expert marquant les pièces selon un code de signature qui lui est propre. Pour les pièces les plus rares, il établit un certificat d’authenticité, sorte d’état civil du timbre: y figurent la conformité de la pièce à son origine prétendue, ses caractéristiques et une photo de la pièce expertisée. Le certificat étant payant, il n’est intéressant à réaliser que pour des pièces d’une certaine valeur. Prudence car s’il existe des fausses pièces, on trouve aussi de faux certificats. Il convient donc de faire vérifier son authenticité auprès de l’expert qui l’a établi. Le certificat comme la signature engagent la responsabilité de l’expert pendant trente ans. Une spécificité française qui protège l’acheteur, puis ses ayants droit.
Source :
Comment estimer la valeur de ses timbres
Ces questions sont très courantes et légitimes chez le collectionneur ou même chez celui qui récupère – notamment par héritage – uneou de plis.se fonde en fait sur plusieurs critères : la rareté, la qualité, la demande.La rareté des pièces se détermine en consultant des catalogues philatéliques généralistes ou spécialisés. Si cette rareté est connue pour tout timbre-poste en général, elle est plus subjective dans le cas d’une lettre ou de tout objet postal. Les conseils d’une association philatélique ou d’un négociant expert membre de la CNEP sont parfois nécessaires. Pour un timbre-poste, la qualité est définie par le bon état (dentelure correcte, gomme impeccable pour les timbres neufs, centrage correct) qui fait de ce dernier un timbre « premier choix ». Cette qualité est plus aléatoire pour une lettre. Il est donc difficile de déterminer sans se tromper laou d’une collection, quelques timbres exceptionnels ou un pli rare en font parfois la valeur. Reste enfin la demande sur le marché philatélique, elle aussi aléatoire, à l’exception des pièces rares ou célèbres qui trouvent toujours preneur.Pour identifier ses pièces, connaître leurs particularités et, bien sûr, estimer sa collection,Comment ça marche ? Un index alphabétique thématique, en début de catalogue, permet en général de retrouver un timbre dans le déroulé du catalogue. Les timbres sont classés par pays dans un ordre chronologique. Selon le catalogue, on va retrouver l’année d’émission du timbre, son sujet, son mode d’impression, sa valeur faciale, sa dentelure, le tirage, voire les noms du dessinateur et du graveur, son usage postal, et enfin sa date de retrait. Les éditeurs de catalogue attribuent au timbre un numéro. Grâce à lui, chaque timbre est identifiable par tous les collectionneurs du monde. Ils reproduisent en général le timbre-poste soit en couleur, soit en noir et blanc.Ils établissent une cotation du timbre :Depuis son édition 1996, le catalogue Yvert & Tellier a introduit une troisième colonne pour les émissions entre 1900 et 1959. La colonne de gauche concerne donc les timbres neufs avec gomme impeccable, celle du milieu les timbres neufs avec traces de charnière, celle de droite les timbres oblitérés.Depuis l’avénement du multimédia, les éditeurs déclinent leur catalogues sur cédérom et sur internet. Yvert et Tellier propose une version en ligne de son catalogue :En plus de proposer une partie de son catalogue, celui-ci permet de gérer selon différents niveaux de classement un ou plusieurs collections de timbres avec possibilité d’éditer une mancolise.Les timbres-poste s’échangent, mais ils se vendent aussi. Pour en connaître la valeur, les négociants philatéliques peuvent aider le collectionneur. Rassemblés au sein de la Chambre Syndicale des Négociants et Experts en Philatélie (CNEP), ils sont présents dans les expositions ou au marché du timbre à Paris (le Carré Marigny). Au sein de la CNEP, certains négociants sont experts etLes consulter permet souvent de savoir si la pièce que l’on croit d’une grande valeur l’est réellement ou non : ce sont des spécialistes compétents et ils s’engagent dans leur expertise par un certificat authentifiant votre timbre-poste ou votre objet postal.Deux termes qui recouvrent deux réalités différentes mais vont souvent de paire. Faire expertiser une pièce permet d’en faire valider l’authenticité. L’expert, après examen, signe ladite pièce ou le timbre (au verso), chaque expert marquant les pièces selon un code de signature qui lui est propre. Pour les pièces les plus rares, il établit un certificat d’authenticité, sorte d’état civil du timbre: y figurent la conformité de la pièce à son origine prétendue, ses caractéristiques et une photo de la pièce expertisée. Le certificat étant payant, il n’est intéressant à réaliser que pour des pièces d’une certaine valeur. Prudence car s’il existe des fausses pièces, on trouve aussi de faux certificats. Il convient donc de faire vérifier son authenticité auprès de l’expert qui l’a établi. Le certificat comme la signature engagent la responsabilité de l’expert pendant trente ans. Une spécificité française qui protège l’acheteur, puis ses ayants droit.Source : L’Encyclophilatélie (Editions Yvert et Tellier)
Dans un entretien avec le journaliste Stéphane Jobert, M. Édouard Guffroy (Expert et directeur du service philatélie chez YVERT et Tellier), nous donne des exemples et une analyse pour l’estimation de timbres de collection.
Comment faire expertiser ses timbres ?
Petit aperçu de l’expertise et de sa nécessité avec notre expert en philatélie M. Édouard Guffroy. Il nous décrit son travail d’authentification et estimation des timbres qu’on lui présente. Et il nous révèle notamment comment distinguer pièces authentiques et falsifications, aujourd’hui de plus en plus nombreuses.
Comment vendre sa collection de timbres?
La vente d’une collection, une question récurrente des philatélistes. Exploration du sujet avec Édouard Guffroy, expert aux éditions Yvert & Tellier. Pour ce faire, les Éditions Yvert & Tellier disposent de plusieurs canaux : de l’offre à « l’amiable » (achat au comptant de la collection) à la Vente aux Enchères ou sur Offres..
Soyez le premier a laisser un commentaire