Manhattan Community Board 1, New York County, New York City, New York, United States of America
Manhattan Community Board 1, New York County, New York City, New York, United States of America
Latitude: 40.714268
40° 42′ 51.365 » N
Longitude: -74.005974
-74° 0′ 21.506 » E
Heure locale: 04:04 (08.02.2023) : (America/New_York)
Trajet par vol:
5.860,22
km
(7h 23min)
La distance de vol entre les aéroports les plus proches New-York (LGA) et Paris (ORY) est de 5.860,22 km. Le temps de vol sera approximativement de 7h 23min. Trajets aériens similaires : LGA → CDG , LGA → CRL , LGA → BRU , LGA → LUX , EWR → ORY
Relèvement: 81,43° (E)
Le relèvement initial du trajet entre New-York et Paris est de 81,43° et la direction indiquée par la boussole est E.
Le point médian géographique entre New-York et Paris se situe à 2.918,53 km de distance entre les deux points, le relèvement est de 81,43°.
Distance:
5.837,07
km
La distance la plus courte (à vol d’oiseau) entre New-York et Paris est de 5.837,07 km.
Trajet par route:
—
(
–
)
D’après le planificateur d’itinéraire, le trajet le plus court entre New-York et Paris est de . Le temps de conduite sera approximativement de . Le point médian du trajet se trouve aux coordonnées suivantes : .
Décalage horaire: 6h
Le décalage horaire entre New-York (America/New_York) et Paris (Europe/Paris) est de 6 heures. Cela signifie qu’il est actuellement 04:04 (08.02.2023) à New-York et 10:04 (08.02.2023) à Paris.
Si vous partez de Paris, vous devrez parcourir la distance de 5 836 km en avion pour pouvoir vous poser à l’aéroport de New York. La vitesse moyenne de votre avion étant de 805 km/h, votre temps de vol Paris-New York est estimé à 7h47. Bien entendu, cette estimation est variable en fonction des conditions climatiques. Tout dépend de votre vitesse de croisière.
Les principales étapes de votre voyage en direction de New York
La première étape est, bien entendu, de réserver son vol Paris – New York sur le site de French bee. Puis vient l’heure tant attendue du grand départ ! En France, les départs se font de l’aéroport d’Orly et l’arrivée se situe à l’aéroport de Newark.
En France, plusieurs solutions s’offrent à vous pour rejoindre votre lieu de décollage : par avion, en train ou en voiture.
À New York, l’aéroport se situe à 26 km du centre de Manhattan. Là encore, plusieurs possibilités sont envisageables, à savoir la navette partagée (sorte de taxi-minibus), le mythique taxi jaune, le bus ou l’AirTrain suivi du métro… Le tout après une probable longue attente aux guichets des contrôles de l’immigration.
Quelle est la distance entre Paris et New York ? Combien de kilomètres faut-il parcourir pour rejoindre la Grosse Pomme depuis la ville lumière ? Voici des questions simples, mais essentielles pour une très grande majorité de futurs voyageurs.
Alors quelle est la distance entre Paris et New York ? Voici la réponse !
Paris New York distance : combien de kilomètres séparent ces deux villes ?
La distance entre Paris et New York est de 5 836 kilomètres (soit 3 626.32 miles environ). Au total, il faudra donc 7h47 en moyenne pour réaliser cette distance (si la vitesse de l’avion est de 805 km/h). Le voyage est donc assez long et en plus, plusieurs phénomènes peuvent faire augmenter cette durée : conditions météorologiques, vitesse de l’avion et du vent. La durée du voyage n’est donc pas fixe et à celle-ci, il faut également ajouter 30 minutes correspondant à l’atterrissage et au décollage. Aussi, n’oubliez pas qu’entre Paris et New York, il y a 6 heures de décalage !
Bon à savoir : cette distance et cette durée sont valables pour un décollage à l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle et un atterrissage à l’aéroport John Fitzgerald Kennedy International à New York. Mais si vous souhaitez atterrir à un autre aéroport de NYC, ceci est possible (pensez à vérifier ce point avec la compagnie choisie).
Vol aller et vol retour : même distance, mais une durée de vol différente
Si vous vous êtes déjà envolé pour New York, le vol aller vous a peut-être semblé plus long que celui retour. Vous pensiez que cela était qu’une impression ? Détrompez-vous ! Ceci est bel et bien vrai : le vol aller dure 45 minutes de plus que celui retour alors que la distance entre ces deux villes reste la même pour ces deux vols. Deux phénomènes expliquent cette différence entre ces deux voyages :
- La rotation de la terre et les vents : un avion qui part de Paris pour atterrir à New York devra faire face aux vents ; une « confrontation » qui ralentira l’appareil. Au contraire, un avion décollant de New York pour rejoindre Paris sera quant à lui poussé par ces fameux vents et ira de ce fait beaucoup plus vite : si l’avion atteint une vitesse de 800 km/h, avec les vents, celle-ci augmentera à 1000 km/h. En revanche, si l’appareil fait face aux vents, sa vitesse sera abaissée à 600 km/h.
- Le jet-stream ou courant-jet qui sont des vents soufflant d’ouest en est. Ainsi, si un avion se déplace selon la trajectoire des vents, sa vitesse augmentera. Mais s’il vole dans le sens inverse, sa vitesse diminuera.
=> Ces différents phénomènes sont expliqués plus en détail dans notre article « Quelle est la durée d’un vol Paris – New York ?« .
Et voici. Vous savez désormais qu’il vous faudra parcourir 5 836 kilomètres avant de découvrir Big Apple et toutes ses merveilles ! Si vous voulez plus d’informations sur Paris et ses aéroports rendez-vous sur grandearche.com.
New York-Paris 1908, la Sizaire-Naudin de Pons, Deschamps et Berlhe.
Le New York-Paris 1908, dit The Great Race, est une course automobile ancêtre des croisières automobiles d’avant-guerre puis des rallyes-marathons d’après-guerre et des rallyes-raids modernes actuels. Elle dure sept mois sur un parcours de 22 000 miles (dont 13 341 miles de conduite de course effective), soit une distance totale de 35 400 kilomètres.
Au départ: la De Dion-Bouton de St. Chaffray, Autran et du Danois Hansen, de face, le 12 février 1908.
Ils sont tous partis…
31 juillet 1908, l’arrivée de la Thomas Flyer à Paris.
Montague Roberts, dans la Thomas Flyer à Paris.
La Thomas Flyer 35 hp victorieuse du New York-Paris 1908.
Le défi, à l’époque fort médiatisé, est autant technologique que humain. Onze grandes cités sont entre autres désignées comme villes-étapes : New York, Chicago, San Francisco, Seattle, Yokohama, Vladivostok, Irkoutsk, Omsk, Moscou et Paris.
Six équipes, chacune composée de trois hommes et représentant quatre pays différents, sont au départ le 12 février à Time Square[1]. La moitié sont françaises. Les Américains et les Italiens ont un quatrième membre accompagnateur, l’un journaliste au New York Times, l’autre au Matin (les deux quotidiens coorganisateurs de l’épreuve). La Werner de Maurice Drieghe, Max Hohmann et Eugène Lelouvier[2] dont l’ambition était de battre les concurrents officiels était partie la veille[3].
Mercredi 12 février 1908 (jour de la Saint Félix en France), la course s’élance à 11 h 15 depuis Times Square (NY), devant une foule considérable estimée à 250 000 personnes. Elle va durer 169 jours. Un pistolet en or sert à donner le coup de feu du départ. Les six véhicules traversent l’Hudson Valley, direction Albany. Dès ce petit tronçon initial, la peu puissante Sizaire-Naudin abandonne; elle vient de heurter un rocher à Peekskill et le différentiel est hors d’usage. Tous les autres concurrents vont alors être confrontés à de nombreux problèmes durant la traversée américaine d’est en ouest. La Motobloc française s’égare sur les routes de terres agricoles de l’Iowa détrempées, transformées en de vastes champs de boue après des pluies incessantes. Plusieurs équipages pensent alors à quitter définitivement la course, le 17 mars au soir à Carroll (IO). Le Midwest est impitoyable en conditions hivernales, les concurrents étant obligés de longer la première voie ferrée transcontinentale nord-américaine. Anecdote, à Utica, la Züst italienne chute depuis un pont appartenant à l’Union Pacific, mobilisant une brigade complète anti-déraillement de la compagnie avec plusieurs grues de levage et des dizaines d’hommes. Le moteur de la Protos allemande rend l’âme à Pocatello (ID), obligeant au rapatriement du véhicule par train vers Seattle pour de lourdes réparations. Les voies terrestres n’étant pas bitumées, la plupart des véhicules ont dû être tractés à cheval sur les rails des locomotives sur des centaines de miles, les chasse-neige n’étant de plus pas encore inventés à l’époque.
Le vainqueur de l’étape américaine est l’unique voiture concurrente nationale, la Thomas Flyer, qui atteint San Francisco le 24 mars après 41 jours 8 heures et 15 minutes d’un parcours des plus chaotiques. Pour la toute première fois un véhicule sur route traverse les États-Unis en hiver.
Les quatre « survivants » sont alors embarqués dans la cale d’un navire à vapeur dans le port de Seattle, direction Valdez en Alaska du sud, mais la traversée du détroit de Behring devient inenvisageable, alors que les organisateurs voulaient initialement faire passer les voitures par ce « pont » naturellement gelé durant cette période de l’année. Les Thomas Flyer, Züst, Protos et De Dion-Bouton rebroussent chemin toujours par mer et sont déroutées en direction directe de l’Extrême-Orient et de Yokohama, uniquement par traversée maritime de l’océan Pacifique.
Après une courte escale japonaise, les quatre voitures arrivent à Vladivostok le 20 mai après avoir traversé la mer du Japon. Seules la Protos, la Züst et le Flyer entament la deuxième traversée continentale, mais l’équipage allemand écope d’emblée d’une peine de 30 jours de pénalité pour cause d’un transport en train illicite et d’un refus de ralliement en Alaska. Craignant la présence de bandes de brigands et des conditions climatiques par trop défavorables en Sibérie, la De Dion-Bouton décide de quitter quant à elle abruptement la compétition, malgré tous les efforts déjà accomplis. La Protos est en tête sur le trajet dans la toundra mandchoue et sibérienne en direction d’Irkoutsk, mais se fait progressivement rejoindre puis dépasser par la Thomas Flyer, à 3 000 km environ de Vladivostok, la Züst se retrouvant quant à elle de plus en plus à la traîne. La fonte des neiges complique la conduite, avec l’apparition d’innombrables marais très peu visibles, pièges permanents sur une terre ramollie à perte de vue dans de vastes zones devenues marécageuses. La vitesse de course se décline alors souvent en pieds par heure plutôt qu’en miles horaires… et le Flyer finit ainsi par s’embourber, pour arriver finalement avec quatre jours de retard sur la Protos à Moscou, les Allemands étant déjà sur place depuis le 20 juillet. Le tsar en personne reçoit les équipes et les organisateurs (cet évènement sera repris 57 ans plus tard dans le film La Grande Course autour du monde).
Passé la banlieue moscovite les conditions de route s’améliorent de façon significative, et les traversées successives de l’Allemagne, de la Belgique et du nord-est de la France se déroulent sans évènement notable. Les positions restent figées jusqu’à Paris, où les Allemands franchissent les premiers grâce à Hans Koeppen la ligne d’arrivée le 26 juillet. Cependant ils ne sont pas déclarés vainqueurs, du fait de la pénalité des 30 jours infligée à leur encontre à Vladivostok. Les Américains arrivés à leur tour le 30 juillet sont les lauréats définitifs[9], pour 26 jours, les Italiens terminant quant à eux seulement le 17 septembre mettant ainsi un terme final à cette épreuve marathon, qui contribua de par la fiabilité des trois voitures à populariser avec le Pékin-Paris disputé l’année précédente le développement de l’automobile en Europe et qui encouragea également les investissements des États dans l’amélioration et l’expansion des réseaux routiers de l’époque, le New York Times faisant quant à lui fréquemment ses unes sur les péripéties de la course outre-Atlantique.
George Schuster (1873–1972) fut intronisé dans le Hall of Fame automobile le 12 octobre 2010, 102 ans après son exploit (le seul à disputer réellement toute la distance des 35400 km). Il avait été retenu pour ses bonnes compétences mécaniques initialement, après avoir démarré dans l’industrie automobile comme spécialiste de la fabrication de radiateurs tubulaires pour l’E.R. Thomas Motor Company à l’usine-mère de Buffalo (NY), entreprise où par la suite il devint le superviseur général des assemblages finaux, et l’un des meilleurs metteurs au point de la marque avant la remise des véhicules aux clients aisés auxquels il apprenait le pilotage et l’entretien de ces engins d’un maniement difficile.
La
World Race 2011
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Initialement prévue en 2008 sous le nom de Great Race 2008 mais annulée pour cause d’objections de la part des autorités chinoises, la course évènementielle commémorative débute finalement elle aussi à Times Square le 14 avril 2011. Quatre compétiteurs sont présents, à bord d’une Ford modèle A de 1929, d’une Ford 3 Window Coupé de 1932, d’une Volkswagen Beetle de 1967 et d’une Chevrolet Corvette de 2007 tout spécialement préparée. La tour Eiffel est atteinte le 21 juillet. Jeff Mahl, le propre arrière-petit-fils de George Schuster, participe à la célébration.
- (en) Le London Daily Mail: articles variés de 1907 à 1908;
- (en) Le « New York Times: article variés de 1907 and 1908 (site officiel);
- (en) The Story of the New York to Paris Race, Buffalo, NY, E. R. Thomas Motor Co., 1908 (réimpr. 1951 (Floyd Clymer, Los Angeles), 1992 (Intrepid Publishing Co.)) (présentation en ligne)
, Buffalo, NY, E. R. Thomas Motor Co.,1951 (Floyd Clymer, Los Angeles), 1992 (Intrepid Publishing Co.))
-
(en) Dermot
Cole
, Hard Driving : The 1908 Auto Race from New York to Paris, Paragon House (NY), 1991
-
(en) Julie M.
Fenster
, Race of the Century : The Heroic True Story of the 1908 New York to Paris Auto Race, Crown Publishers (NY), 2005
-
(en) Jackie
Frady
, Michael
Sion
et Cindie
Geddes
, Against All Odds : The Great New York to Paris Automobile Race of 1908, Reno, Nevada, National Automobile Museum, coll. « Harrah Collection », 2007
-
(en) Robert B.
Jackson
, Road Race Round the World : New York to Paris, 1908, H. Z. Walck (NY), 1965 (réimpr. 1977)
-
(en) G. S.
Singer
, King of all Men, Third Millennium Publishing (Georgie), 2012
Notes et références
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(pt)/(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu des articles intitulés en
Cet article est partiellement ou en totalité issu des articles intitulés en portugais et en anglais
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