Musique
Le Soldat
par
Florent Pagny
Paroles de la chanson
Florent Pagny – « Le soldat »
À l’heure où la nuit passe au milieu des tranchées,
Ma très chère Augustine, je t’écris sans tarder,
Le froid pique et me glace et j’ai peur de tomber.
Je ne pense qu’à toi,
Mais je suis un soldat.
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là.
Et tu seras fière de moi.
À l’heure où la guerre chasse des garçons par milliers,
Si loin de la maison et la fleur au canon.
Ces autres que l’on tue sont les mêmes que moi.
Mais je ne pleure pas,
Car je suis un soldat
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là
Et tu seras fière de moi.
À l’heure où la mort passe dans le fleuve à mes pieds,
De la boue qui s’en va, des godasses et des rats.
Je revoie tes yeux clairs, j’essaie d’imaginer
L’hiver auprès de toi,
Mais je suis un soldat,
Je ne sens plus mes bras,
Tout tourne autour de moi,
Mon Dieu sors-moi de là.
Ma très chère Augustine, j’aimerais te confier
Nos plus beaux souvenirs et nos enfants rêvés.
Je crois pouvoir le dire : nous nous sommes aimés.
Je t’aime une dernière fois.
Je ne suis qu’un soldat.
(Non je ne reviendrai pas.)
Je n’étais qu’un soldat.
Prends soin de toi.
Auteur
Marie Bastide
Compositeur
Calogero
Album
Viellir avec toi
Maison production
Capitol / Universal Music
Paroles de la chanson Le soldat par Florent Pagny
A l’heure où la nuit passe au milieu des tranchées,
Ma très chère Augustine, je t’écris sans tarder,
Le froid pique et me glace et j’ai peur de tomber.
Je ne pense qu’à toi,
Mais je suis un soldat.
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là.
Et tu seras fière de moi.
A l’heure où la guerre chasse des garçons par milliers,
Si loin de la maison et la fleur au canon.
Ces autres que l’on tue sont les mêmes que moi.
Mais je ne pleure pas,
Car je suis un soldat
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là
Et tu seras fière de moi.
A l’heure où la mort passe dans le fleuve à mes pieds,
De la boue qui s’en va des godasses et des rats.
Je revois tes yeux clairs, j’essaie d’imaginer
L’hiver auprès de toi,
Mais je suis un soldat,
Je ne sens plus mes bras,
Tout tourne autour de moi,
Mon Dieu sors moi de là.
Ma très chère Augustine, j’aimerai te confier
Nos plus beaux souvenirs et nos enfants rêvés.
Je crois pouvoir le dire nous nous sommes aimés.
Je t’aime une dernière fois.
Je ne suis qu’un soldat.
Non je ne reviendrai pas.
Je n’étais qu’un soldat.
Prends soin de toi.
Florent Pagny
Year: 2014 3:11 173
Views
French
A l'heure où la nuit passe au milieu des tranchées, Ma très chère Augustine, je t’écris sans tarder, Le froid pique et me glace et j'ai peur de tomber. Je ne pense qu'à toi, Mais je suis un soldat (La la la, la la la la) La la la, la la la la Mais surtout ne t'en fais pas. Je serai bientôt là (La la la, la la la la) La la la, la la la la Et tu seras fière de moi. A l'heure où la guerre chasse des garçons par milliers, Si loin de la maison et la fleur au canon. Ces autres que l'on tue sont les mêmes que moi. Mais je ne pleure pas, Car je suis un soldat (La la la, la la la la) La la la, la la la la Mais surtout ne t'en fais pas. Je serai bientôt là (La la la, la la la la) La la la, la la la la Et tu seras fière de moi. A l'heure où la mort passe dans le fleuve à mes pieds, De la boue qui s'en va, des godasses et des rats. Je revoie tes yeux clairs, j'essaie d'imaginer L'hiver auprès de toi, Mais je suis un soldat (La la la, la la la la) La la la, la la la la Je ne sens plus mes bras. Tout tourne autour de moi (La la la, la la la la) La la la, la la la la Mon Dieu sors moi de là. Ma très chère Augustine, j'aimerai te confier Nos plus beaux souvenirs et nos enfants rêvés. Je crois pouvoir le dire nous nous sommes aimés. Je t'aime une dernière fois. Je ne suis qu'un soldat (La la la, la la la la) La la la, la la la la, la la la, la la Non je ne reviendrai pas (La la la, la la la la) La la la, la la, la Je n'étais qu'un soldat (La la la, la la la la) La la la, la la la la La la la, la la, la Prends soin de toi (La la la, la la la la) La la la, la la la la
Written by: Marie Bastide, Maurici Joseph Calogero
Lyrics © Warner Chappell Music, Inc.
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
À l’heure où la nuit passe au milieu des tranchées,
Ma très chère Augustine, je t’écris sans tarder,
Le froid pique et me glace et j’ai peur de tomber.
Je ne pense qu’à toi,
Mais je suis un soldat.
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là.
Et tu seras fière de moi.
À l’heure où la guerre chasse des garçons par milliers,
Si loin de la maison et la fleur au canon.
Ces autres que l’on tue sont les mêmes que moi.
Mais je ne pleure pas,
Car je suis un soldat.
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là
Et tu seras fière de moi.
À l’heure où la mort passe dans le fleuve à mes pieds,
De la boue qui s’en va, des godasses1 et des rats.
Je revoie tes yeux clairs, j’essaie d’imaginer
L’hiver auprès de toi,
Mais je suis un soldat,
Je ne sens plus mes bras,
Tout tourne autour de moi,
Mon Dieu sors-moi de là.
Ma très chère Augustine, j’aimerais te confier
Nos plus beaux souvenirs et nos enfants rêvés.
Je crois pouvoir le dire : nous nous sommes aimés.
Je t’aime une dernière fois.
Je ne suis qu’un soldat.
(Non je ne reviendrai pas.)
Je n’étais qu’un soldat.
Prends soin de toi.
Tempo de valse lente
Intro :
A l’heure où la nuit
passe au milieu des tran
chées
Ma très chère Augu
stine
, je t’écris sans tar
der
Le froid pique et me
glace; et j’ai peur de tom
ber
Je ne pense qu’à
toi…
Mais je suis un sol
dat, la, la, la,
la, la, la,
La, la, la, la,
la, la, la,
Mais
surtout ne t’en
fais
pas !
Je serai bientôt
là, la, la, la,
la, la, la,
La, la, la, la,
la, la, la,
Et
tu seras fière
de
moi
A l’heure où la guerre chasse des garçons par milliers
Si loin de la maison et la fleur au canon
Ces autres que l’on tue sont les mêmes que moi
Mais je ne pleure pas…
Car je suis un soldat, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la, la
Mais surtout ne t’en fais pas
Je serai bientôt là, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la, la,
Et tu seras fière de moi
A l’heure où la mort passe dans le fleuve à mes pieds
De la boue qui s’en va, des godasses et des rats
Je revois tes yeux clairs ; j’essaie d’imaginer
L’hiver auprès de toi…
Mais je suis un soldat, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la, la,
Je ne sens plus mes bras
Tout tourne autour de moi, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la, la,
Mon Dieu, sors-moi de là !
Ma très chère Augustine, j’aimerais te confier
Nos plus beaux souvenirs et nos enfants rêvés
Je crois pouvoir le dire : « Nous nous sommes aimés
Je t’aime une dernière fois »…
Je ne suis qu’un soldat, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, non,
Je ne reviendrai pas…
La, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la,
Je n’étais qu’un soldat…
La, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la,
Prends soin de
toi…
!
Ah,
ah,
Ah,
ah,
ah.
À l’heure où la nuit passe au milieu des tranchées,
Ma très chère Augustine, je t’écris sans tarder,
Le froid pique et me glace et j’ai peur de tomber.
Je ne pense qu’à toi,
Mais je suis un soldat.
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là.
Et tu seras fière de moi.
À l’heure où la guerre chasse des garçons par milliers,
Si loin de la maison et la fleur au canon.
Ces autres que l’on tue sont les mêmes que moi.
Mais je ne pleure pas,
Car je suis un soldat.
Mais surtout ne t’en fais pas,
Je serai bientôt là
Et tu seras fière de moi.
À l’heure où la mort passe dans le fleuve à mes pieds,
De la boue qui s’en va, des godasses1 et des rats.
Je revoie tes yeux clairs, j’essaie d’imaginer
L’hiver auprès de toi,
Mais je suis un soldat,
Je ne sens plus mes bras,
Tout tourne autour de moi,
Mon Dieu sors-moi de là.
Ma très chère Augustine, j’aimerais te confier
Nos plus beaux souvenirs et nos enfants rêvés.
Je crois pouvoir le dire : nous nous sommes aimés.
Je t’aime une dernière fois.
Je ne suis qu’un soldat.
(Non je ne reviendrai pas.)
Je n’étais qu’un soldat.
Prends soin de toi.
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