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L impasse de la rue au pouvoir

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L’impasse – De la Rue au Pouvoir

Le Film

Critique de Arnaud Herpin

Editeur

Universal

Edition

Standard

Label

Zone

2

Durée Film

90 min

Nb Dvd

1

Carlito Brigante (Jay Hernandez), portoricain,  est en prison avec Earl (Mario Van Peebles), afro-américain et Rocco (Michael Kelly) un italien. Préfigurant le slogan United Colors of Benetton, ils décident de s’associer afin de devenir les nouveaux rois du florissant et très juteux trafic d’héroïne. Le jeune Carlito va passer du statut de petite frappe à celui de caïd respecté, ou plutôt craint, par tout le monde…

 

Par ici la Monnaie !

 

L’idée de raconter les débuts dans le milieu de la pègre new-yorkaise de Carlito Brigante, le héros las et dépassé de L’impasse, rattrapé par son passé légendaire (justement !) pouvait paraître séduisante. Même si à la sortie du film de Brian De Palma, beaucoup voyait dans ce personnage, la figure du plus célèbre balafré du cinéma, Tony Montana, qui au lieu de mourir criblé de balles aurait fini en prison, la tentation était forte de donner un passé, et donc un prequel au légendaire gangster. Pourtant, ici il n’est pas question de suite ou plutôt d’avant, de respect de l’original, de recherche artistique. Non, ici il est question d’argent et de comment en récolter un maximum sans trop se fouler. Tiens tiens bizarrement c’est un peu ce que raconte le film !

READ  Le point de vue interne

 

A l’instar des nombreuses suites qui inondent actuellement le marché du dvd, la majorité de ces films n’ayant même pas l’honneur d’une sortie en salles dans notre beau pays, le but est d’attirer le consommateur séduit à l’idée de découvrir la suite de son film favori. De plus quand il s’agit d’un film de gangster, le public masculin, fan de Scarface, de la trilogie du Parrain ou des Affranchis, est conquis d’avance. Jackpot !

 

Et alors, je zappe ?

 

Un film à éviter donc ? En fait pas forcément. Si on évite la comparaison avec l’original, le film de Michael Bregman, le fils du producteur de Scarface et de L’Impasse (ne serait-ce pas du népotisme ?), se laisse regarder. Une honnête série B, idéale pour un vendredi soir entre potes.

 

On pourra toujours se moquer du manque de charisme de Jay Hernandez, un comble quand on a été choisi pour succéder à Al Pacino. On pourra toujours ergoter sur une intrigue ménageant les neurones du téléspectateur, basculant progressivement du côté de la farce, malgré une sympathique pirouette finale. On pourra même pinailler sur le fait que Luis Guzmàn (unique rescapé du premier opus) ne joue plus le même personnage.

 

L’essentiel est ailleurs. Le but est de divertir et celui-ci est atteint. Sortons les pop-corns et savourons les costumes colorés de ces malfrats à la cool et l’effort de reconstitution du redoutable quartier de Spanish Harlem. Avec une mention spéciale pour Mario Van Peebles (New Jack City, Ali) qui se fait décidément trop rare à l’écran et pour Sean Combs, alias Puff Daddy, qui prouve une nouvelle fois, après le très noir A l’Ombre de la Haine, que la musique n’était pas forcément son domaine de prédilection.

 

 Effectivement, le thème du film original est trahi. L’Impasse racontait la quête désespérée d’une impossible rédemption et une sorte de désacralisation du monde mafieux, tandis que ce prequel dessine un portrait très avantageux du milieu du crime organisé. De plus, la mise en scène n’arrive pas à la hauteur celle du réalisateur des Incorruptibles ou de Carrie. Donc si vous pensez ne pas pouvoir éviter la comparaison, passez votre chemin. Dans le cas contraire, vous pouvez tenter votre chance, mais de préférence à la location tout de même. Gardez votre argent pour vous payer l’original ou tout autre film avec Al Pacino, ce sera plus sur

READ  Sens du courant dans un circuit

L’image

Couleurs

Définition

Compression

Format Vidéo

16/9 anamorphique couleur

Format Cinéma

1.85:1

Une image de très belle qualité. Une colorimétrie impeccable qui met les costumes d’époque en valeur. Aucun défaut de compression à signaler.

Le Son

Langue

Type

Format

Spatialisation

Dynamique

Surround

Français

5.1

Français

5.1

Anglais

5.1

Trois pistes proposées. Un dolby digital 5.1 en anglais et en français, plus un Dts 5.1 en français.

 

Les pistes dolby digital s’en sortent avec les honneurs. Une bonne spatialisation qui permet une très bonne restitution de l’ambiance sonore du film, pour l’essentiel de la musique soul-funk de la fin des années 60 et début des années 70. La dynamique et le surround sont corrects sans être exceptionnels.

Le Dts, quant à lui est plus pêchu, avec une dynamique plus puissante et un surround plus présent, accompagné d’une excellente spatialisation. Pourtant on conseillera quand même la piste anglaise afin d’éviter au téléspectateur un doublage calamiteux.

Les Bonus

Supléments

Menus

Sérigraphie

Packaging

Durée

48 min

Boitier

Amaray avec fourreau cartonné

Au sein d’un menu superbe, composé d’images animées sur une musique mariachi, des bonus peu intéressants.

 

-         Scènes inédites : Comme son nom l’indique, un panaché des scènes tournées mais ne figurant pas dans le long métrage. Peu d’intérêt, n’auraient pas apporté grand-chose au récit.

-         Bêtisier : Comme son nom l’indique, un panaché de scènes ratées à cause d’éclats de rire. Souriant et permettant d’apprécier les talents d’improvisateur de Luis Guzmàn.

-         Tu As ma Protection – Les Partenaires de Crime de Carlito : Interviews des acteurs sur l’histoire du film. Anecdotique. Le plus surprenant, c’est que personne n’évoque L’Impasse.

-         La Naissance du Quartier : Interviews des acteurs et des techniciens. Reviennent sur la reconstitution du Spanish Harlem de l’époque, effacer les traces de modernité pour les tournages en extérieur, les costumes… Un peu trop superficiel pour être réellement intéressant.

-         Documentaire sur le tournage : Interviews des acteurs et des techniciens. Evoquent la naissance du mythe de Carlito Brigante, les mérites des uns et des autres… Un peu trop de pommade pour être honnête.

-         Visite du Plateau avec « Earl » : Mario Van Peebles nous fait découvrir un des décors en extérieur. Inintéressant.

-         Bandes-annonces de L’impasse – De la Rue au Pouvoir, de L’Impasse et de La Porte des Secrets.

Bonus

Livret

Livret

Bande annonce

READ  Je vois en anglais

Bande annonce

Biographies

Biographies

Making of

Making of

Documentaire

Documentaire

Interviews

Interviews

Com. audio

Scènes sup

Scènes sup

Fin alternative

Fin alternative

Galerie de photos

Galerie de photos

Story board

Story board

Multi-angle

Multi-angle

Liens internet

Liens internet

Interface Rom

Interface Rom

Jeux intéractifs

Jeux intéractifs

Filmographies

Filmographies

Clips vidéo

Clips vidéo

Bêtisier

Bêtisier

Bonus Cachés

Bonus Cachés

Court Metrage

Court Metrage

Par le producteur de Scarface et de L’Impasse, L’IMPASSE : De la Rue au Pouvoir
(Carlito’s way : Rise to power)

Le prologue du film culte de Brian de Palma : L’Impasse, un thriller de référence, un film devenu cilte, dans la lignée de Scarface, un best seller en DVD depuis 2004.

Réalisé par Michael Bregman, avec Jay Hernandez, Mario van Peebles, Sean « P. DIDDY » Combs, Luis Guzman

Le parcours du gangster porto-ricain Carlito Brigante, ses premières années de légende… Epaulé par ses deux « frères » d’armes, Rocco et Earl, Carlito est sur le point de devenir le maître des latinos de Harlem.

Mais quand ses deux proches trahissent sa confiance, Carlito a une seule chose en tête : se venger…

SORTIE EN DVD LE 22 FEVRIER 2006

UN DVD QUI FAIT PARLER LA POUDRE
Durée du film : 90min – 2005

Caracteristiques techniques :
Format image : 1.85:1
Langues : Anglais 5.1 Dolby Surround, Français 5.1 Dolby Surround et 5.1 DTS
Sous-titres : Anglais et Français

Bonus :
– Scènes coupées (7’09)
– Bêtisier (6’11)
– Les frères de Carlito: interviews des partenaires de Carlito (5’38)
– Harlem 1969 : reportage sur la fabrication des décors (7’43)
– Making of (11’14)
– Comment Mario Van Peebles rentre dans la peau de son personnage (3’40)
– Bande-annonce (2’30)

Egalement disponible en Coffret 2 DVD avec l’Impasse


ouais c’est un téléfilm sympa, ça passe le temps mais il est gonflé le Van Peebles Jr quand même… parce que Jay Hernandez c’est clairement pas Pacino et pour jouer Carlito jeune (oui c’est un prequel), c’est un peu emmerdant. Il est transparant le pauvre garçon, tendre, tombé de l’arbre trop tôt. Et puis ce fond de « fuck le racisme, nous on veut niquer le bénef » entre un Rital (une victime), un renoi (Van Peebles) et un Portoricain c’est un peu too much dans le délire Benetton. Et puis P. Diddy en caïd du quartier, mouahahaha qu’il est ridicule, il joue trop mal (la scène où il cane un mec pour rien dans le bar, affreux). mais bon, ça se regarde, sans qu’il n’y ait aucun enjeu alors que dans Carlito’s way c’est tout l’intérêt.

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