1. La plus connue des devinettes, celle du Sphinx
Quel est l’animal qui marche sur quatres pattes le matin, sur deux
pattes à midi et sur trois pattes le soir ?
et la réponse en V.O., signée Oedipe:
Entends, même si tu ne le veux pas, ô muse des morts aux
ailes maléfiques, entends ma voix t’annoncer la fin de ton horreur. C’est
l’homme que tu as dit, lequel quand il marche sur la terre, d’abord naît
à l’enfance sur quatre pattes loin du flanc maternel et, devenu vieux,
s’appuie sur un bâton comme sur un troisième pied, soutenant ainsi
son échine pliée par la vieillesse.
2. La suivante est de Voltaire
Cinq voyelles, une consonne,
En français composent mon nom,
Et je porte sur ma personne
De quoi l’écrire sans crayon
Réponse: L’oiseau
3. De Fontenelle:
Je fus demain, je serai hier.
Réponse : aujourd’hui
4.
Je suis tout au bout de ta main,
Je commence la nuit et je finis demain
Réponse : la lettre “n”
5.
Tout paraît renversé chez moi :
Le laquais précède le maître;
Le manant passe avant le roi
Le simple clerc avant le prêtre,
Le printemps vient après l’été
Noël avant la Trinité
C’en est assez pour me connaître.
Réponse : le dictionnaire
6
Vous connaissez Paris
Eh bien ! mes bons amis
Sans moi, ce beau pays
A coup sûr serait pris !
Réponse : la lettre “a”
7
Devine-moi car j’en suis digne :
Je me cache lorsque je sers;
C’est presque toujours dans les vers,
Et l’on me trouve à chaque ligne.
Réponse: l’hameçon
8
Aucun homme ne veut de moi
Aucun homme ne veut me perdre
Que suis-je ?
Réponse : une tête chauve
9
Pour me respecter il faut me donner.
Pour me donner il faut m’avoir.
Que suis-je ?
Réponse : une parole
10
Le pape en a un mais ne l’utilise pas,
Ton père en a un et ta mère l’emploie,
Les nonnes n’en ont pas besoin,
Le mari de ton amie en a un aussi et ton amie l’a adopté.
Réponse : un nom de famille
11
Dès que vous m’avez, vous voulez me partager.
Mais dès lors, je ne suis plus…
Réponse : un secret
12
Parfois je suis fort,
Parfois je suis faible.
Je parle toutes les langues
Sans jamais les avoir apprises.
Réponse : un écho
13
Je pique mais je n’ai pas d’épines,
J’ai une queue que je traîne,
Et dont je laisse des parcelles,
Dans chaque trou que je traverse.
Réponse : une aiguille
14
Minuscule et léger, il est de toutes les fêtes
Et si pour rire on vous en jette,
ne craignez rien, c’est sans danger
Réponse : un confetti
15
J’ai des rues sans chaussées,
Des villes sans immeubles,
Des forêts sans arbres,
Des rivières sans eau.
Réponse : une carte de géographie.
16
Je suis le début de l’éternité,
La fin de l’espace,
La naissance de chaque espèce,
La mort de toute race.
Réponse : la lettre “e”
17
Arrache-moi,
Griffe ma tête,
Et du rouge viendra le noir.
Réponse : une allumette
18
Froid comme la mort,
Vif comme l’argent,
Je n’ai jamais soif,
Je bois sans arrêt…
Réponse : un poisson
19
Je coule mais je ne me noie pas,
J’ai une gorge mais je ne parle pas,
J’ai un lit mais je ne dors pas.
Réponse : une rivière
20
Des hômmes blancs tranchent,
L’hômme rouge transporte
Réponse: les dents et la langue
21
Le coq à Nicolas
Ne chante pas
Le coq à Nicolas
Ne mange pas
Rien que la paille
Le coq à Nicolas
Il vient des USA
Le coq à qui donc ?
Réponse: le Coca-Cola !
22
J’ai quatre dents mais je ne mords pas.
Quand par hasard, j’attrape quelque chose,
Un goinfre me l’enlève aussitôt.
Réponse : une fourchette
23
On luit met le bout de la queue dans le mur,
On l’emmène se promener partout dans la maison :
il mange tout ce qu’il trouve ;
le reste du temps, il dort sans faire de bruit.
Qu’est ce que c’est !
Réponse : l’aspirateur
24
Je dors le jour
Vole la nuit
Sans plumes pour
Mon vol qui fuit…
Mais je souris.
Réponse: la chauve-souris
25
J’ai souvent le pied sur la table
dans mon cas, c’est inévitable.”
Réponse: le verre à pied
26
Quand se chevauchent les sorcières,
Il ne mord jamais la poussière.
Réponse: le balai
1. La plus connue des devinettes, celle du Sphinxet la réponse en V.O., signée Oedipe:2. La suivante est de VoltaireRéponse: L’oiseau3. De Fontenelle:Réponse : aujourd’hui4.Réponse : la lettre “n”5.Réponse : le dictionnaireRéponse : la lettre “a”Réponse: l’hameçonRéponse : une tête chauveRéponse : une parole10Réponse : un nom de famille11Réponse : un secret12Réponse : un écho13Réponse : une aiguille14Réponse : un confetti15Réponse : une carte de géographie.16Réponse : la lettre “e”17Réponse : une allumette18Réponse : un poisson19Réponse : une rivière20Réponse: les dents et la langue21Réponse: le Coca-Cola !22Réponse : une fourchette23Réponse : l’aspirateur24Réponse: la chauve-souris25Réponse: le verre à pied26Réponse: le balai
Question
Réponse
L’enseignement de l’Église Catholique romaine sur le pape (« pape » signifie « père ») a trait à et s’appuie sur les enseignements catholiques ci-dessous :
1) Christ a fait de Pierre le chef des Apôtres et de l’Église (Matthieu 16.18-19). En donnant à Pierre les « clés du royaume », Christ a non seulement fait de lui le chef, mais l’a également rendu infaillible lorsqu’il agissait et parlait en tant que le représentant de Christ sur terre (en parlant du haut de la chaire avec autorité, ou « ex cathedra »). Cette aptitude à agir au nom de l’Église de manière infaillible en parlant « ex cathedra » a été transmise aux successeurs de Pierre, donnant ainsi à l’Église un guide infaillible sur terre. L’objectif de la papauté est de conduire l’Église dans la vérité.
2) Pierre est devenu par la suite le premier Évêque de Rome. En tant qu’Évêque de Rome, il exerçait l’autorité sur tous les autres Évêques et dirigeants de l’église. L’enseignement selon lequel l’Évêque de Rome est supérieur en autorité à tous les autres évêques est appelé la « primauté » de l’Évêque romain.
3) Pierre a transmis son autorité apostolique à l’Évêque de Rome qui lui a succédé, de même que les autres Apôtres, qui ont transmis leur autorité apostolique aux Évêques qu’ils ont ordonnés. À leur tour, les nouveaux Évêques ont transmis cette autorité apostolique aux Évêques qu’ils ont ordonnés plus tard, ainsi de suite. Cette « transmission de l’autorité apostolique » est appelée la « succession apostolique ».
4) S’appuyant sur l’affirmation catholique romaine de chaîne ininterrompue d’Évêques romains, ils enseignent que l’Église Catholique romaine est la vraie Église, et que toutes les Églises qui n’acceptent pas la prééminence du pape se sont détachées d’elle, l’Église originelle, la seule vraie Église.
Après avoir brièvement passé en revue quelques-uns des enseignements de l’Église Catholique romaine concernant la papauté, la question est de savoir si ces enseignements sont en accord avec les Écritures. L’Église Catholique romaine considère la papauté et l’autorité infaillible des enseignements de l’« Église mère » comme nécessaires pour guider l’Église, et utilise cela comme la raison logique de son origine divine. Mais en examinant les Écritures, vous trouverez les éléments suivants:
1) Bien que Pierre ait joué un rôle central dans les débuts de la prédication de l’Évangile (ce qui explique en partie Matthieu 16.18-19), l’enseignement des Écritures, pris dans son contexte, ne déclare nulle part qu’il avait autorité sur les autres Apôtres ou sur l’Église (voir Actes 15.1-23, Galates 2.1-14, 1 Pierre 5.1-5). De plus, il n’est pas écrit que l’Évêque de Rome devait avoir la prééminence sur l’Église. Au contraire, il y a une seule référence dans les Écritures où Pierre écrit depuis « Babylone », un nom quelques fois attribué à Rome, en 1 Pierre 5.13. Essentiellement sur ces faits et sur l’influence historique de l’Évêque de Rome (grâce au soutien de Constantin et des empereurs romains qui ont suivi), se fonde l’enseignement de l’Église Catholique romaine sur la prééminence de l’Évêque de Rome. Toutefois, les Écritures montrent que l’autorité de Pierre était partagée par les autres Apôtres (Éphésiens 2.19-20), et que l’autorité qu’il a reçue de « lier et délier » était également partagée par les églises locales et pas uniquement par les dirigeants de l’église (voir Matthieu 18.15-19, 1 Corinthiens 5.1-13, 2 Corinthiens 13.10, Tite 2.15, 3.10-11).
2) Les Écritures ne disent nulle part que pour préserver l’église de l’égarement, l’autorité des Apôtres a été transmise à ceux qu’ils ont ordonnés (succession apostolique). La succession apostolique est perçue dans les versets que l’Église Catholique romaine utilise pour justifier cette doctrine (2 Timothée 2.2, 4.2-5, Tite 1.5, 2.1, 2.15, 1 Timothée 5.19-22). Les Écritures enseignent qu’il s’élèverait de faux enseignements même du milieu des responsables d’église et que les chrétiens devaient comparer les enseignements des futurs responsables d’église avec les Écritures, qui sont la seule source décrite comme infaillible dans la Bible. La Bible n’enseigne pas que les Apôtres étaient infaillibles, à part ce qui a été écrit par eux et consigné dans les Écritures. S’adressant aux dirigeants de l’église de la grande ville d’Éphèse, Paul fait savoir qu’il y aura de faux enseignants et, pour combattre leurs enseignements erronés, il NE les oriente PAS vers les « Apôtres et ceux qui perpétueraient leur autorité », mais les recommande plutôt à « Dieu et à la parole de Sa grâce » (Actes 20.28-32).
Encore une fois, la Bible enseigne que, seules les Écritures doivent être utilisées comme jauge afin de distinguer la vérité de l’égarement. Dans Galates 1.8-9, Paul affirme que ce n’est pas CELUI qui enseigne, mais CE QUI est enseigné qui doit être utilisé pour distinguer la vérité de l’égarement. Tandis que l’Église Catholique romaine n’arrête pas d’appeler la malédiction de l’enfer, « l’anathème » sur ceux qui rejetteraient l’autorité du Pape, les Écritures réservent cette malédiction à ceux qui enseigneraient un autre évangile (Galates 1.8-9).
3) Tandis que l’Église Catholique romaine considère la succession apostolique comme logiquement nécessaire pour permettre à Dieu de conduire l’Église dans la vérité, les Écritures affirment que Dieu a pourvu aux besoins de son Église par :
(a) Des Écritures infaillibles, (Actes 20.32, 2 Timothée 3.15-17, Matthieu 5.18, Jean 10.35, Actes 17.10-12, Ésaïe 8.20, 40.8, etc.) Remarque : Pierre classe les écrits de Paul dans la même catégorie que les autres Écritures (2 Pierre 3.16),
(b) Christ en tant que Souverain Sacrificateur éternel dans le ciel (Hébreux 7.22-28),
(c) La venue du Saint-Esprit qui a conduit les Apôtres dans la vérité après la mort de Jésus (Jean 16.12-14), qui accorde des dons aux croyants pour l’œuvre du ministère, y compris l’enseignement (Romains 12.3-8, Éphésiens 4.11-16), et qui utilise la parole écrite comme arme principale (Hébreux 4.12, Éphésiens 6.17).
Bien que des hommes bons (pour parler en termes humains) et d’une bonne moralité aient servi comme papes de l’Église Catholique romaine, dont le Pape Jean Paul II et le Pape Benoît XVI, l’enseignement de l’Église Catholique romaine sur la papauté doit être rejeté car il n’est pas en accord avec les enseignements de l’Église originelle relatés dans le Nouveau Testament. L’examen de tout enseignement de l’Église à la lumière des Écritures est essentiel, de peur de dévier des enseignements du Nouveau Testament concernant l’Évangile et non seulement, de passer nous-mêmes à côté de la vie éternelle au ciel, mais aussi de conduire involontairement d’autres personnes sur la mauvaise voie (Galates 1.8-9).
L’enseignement de l’Église Catholique romaine sur le pape (« pape » signifie « père ») a trait à et s’appuie sur les enseignements catholiques ci-dessous :1) Christ a fait de Pierre le chef des Apôtres et de l’Église (Matthieu 16.18-19). En donnant à Pierre les « clés du royaume », Christ a non seulement fait de lui le chef, mais l’a également rendu infaillible lorsqu’il agissait et parlait en tant que le représentant de Christ sur terre (en parlant du haut de la chaire avec autorité, ou « ex cathedra »). Cette aptitude à agir au nom de l’Église de manière infaillible en parlant « ex cathedra » a été transmise aux successeurs de Pierre, donnant ainsi à l’Église un guide infaillible sur terre. L’objectif de la papauté est de conduire l’Église dans la vérité.2) Pierre est devenu par la suite le premier Évêque de Rome. En tant qu’Évêque de Rome, il exerçait l’autorité sur tous les autres Évêques et dirigeants de l’église. L’enseignement selon lequel l’Évêque de Rome est supérieur en autorité à tous les autres évêques est appelé la « primauté » de l’Évêque romain.3) Pierre a transmis son autorité apostolique à l’Évêque de Rome qui lui a succédé, de même que les autres Apôtres, qui ont transmis leur autorité apostolique aux Évêques qu’ils ont ordonnés. À leur tour, les nouveaux Évêques ont transmis cette autorité apostolique aux Évêques qu’ils ont ordonnés plus tard, ainsi de suite. Cette « transmission de l’autorité apostolique » est appelée la « succession apostolique ».4) S’appuyant sur l’affirmation catholique romaine de chaîne ininterrompue d’Évêques romains, ils enseignent que l’Église Catholique romaine est la vraie Église, et que toutes les Églises qui n’acceptent pas la prééminence du pape se sont détachées d’elle, l’Église originelle, la seule vraie Église.Après avoir brièvement passé en revue quelques-uns des enseignements de l’Église Catholique romaine concernant la papauté, la question est de savoir si ces enseignements sont en accord avec les Écritures. L’Église Catholique romaine considère la papauté et l’autorité infaillible des enseignements de l’« Église mère » comme nécessaires pour guider l’Église, et utilise cela comme la raison logique de son origine divine. Mais en examinant les Écritures, vous trouverez les éléments suivants:1) Bien que Pierre ait joué un rôle central dans les débuts de la prédication de l’Évangile (ce qui explique en partie Matthieu 16.18-19), l’enseignement des Écritures, pris dans son contexte, ne déclare nulle part qu’il avait autorité sur les autres Apôtres ou sur l’Église (voir Actes 15.1-23, Galates 2.1-14, 1 Pierre 5.1-5). De plus, il n’est pas écrit que l’Évêque de Rome devait avoir la prééminence sur l’Église. Au contraire, il y a une seule référence dans les Écritures où Pierre écrit depuis « Babylone », un nom quelques fois attribué à Rome, en 1 Pierre 5.13. Essentiellement sur ces faits et sur l’influence historique de l’Évêque de Rome (grâce au soutien de Constantin et des empereurs romains qui ont suivi), se fonde l’enseignement de l’Église Catholique romaine sur la prééminence de l’Évêque de Rome. Toutefois, les Écritures montrent que l’autorité de Pierre était partagée par les autres Apôtres (Éphésiens 2.19-20), et que l’autorité qu’il a reçue de « lier et délier » était également partagée par les églises locales et pas uniquement par les dirigeants de l’église (voir Matthieu 18.15-19, 1 Corinthiens 5.1-13, 2 Corinthiens 13.10, Tite 2.15, 3.10-11).2) Les Écritures ne disent nulle part que pour préserver l’église de l’égarement, l’autorité des Apôtres a été transmise à ceux qu’ils ont ordonnés (succession apostolique). La succession apostolique est perçue dans les versets que l’Église Catholique romaine utilise pour justifier cette doctrine (2 Timothée 2.2, 4.2-5, Tite 1.5, 2.1, 2.15, 1 Timothée 5.19-22). Les Écritures enseignent qu’il s’élèverait de faux enseignements même du milieu des responsables d’église et que les chrétiens devaient comparer les enseignements des futurs responsables d’église avec les Écritures, qui sont la seule source décrite comme infaillible dans la Bible. La Bible n’enseigne pas que les Apôtres étaient infaillibles, à part ce qui a été écrit par eux et consigné dans les Écritures. S’adressant aux dirigeants de l’église de la grande ville d’Éphèse, Paul fait savoir qu’il y aura de faux enseignants et, pour combattre leurs enseignements erronés, il NE les oriente PAS vers les « Apôtres et ceux qui perpétueraient leur autorité », mais les recommande plutôt à « Dieu et à la parole de Sa grâce » (Actes 20.28-32).Encore une fois, la Bible enseigne que, seules les Écritures doivent être utilisées comme jauge afin de distinguer la vérité de l’égarement. Dans Galates 1.8-9, Paul affirme que ce n’est pas CELUI qui enseigne, mais CE QUI est enseigné qui doit être utilisé pour distinguer la vérité de l’égarement. Tandis que l’Église Catholique romaine n’arrête pas d’appeler la malédiction de l’enfer, « l’anathème » sur ceux qui rejetteraient l’autorité du Pape, les Écritures réservent cette malédiction à ceux qui enseigneraient un autre évangile (Galates 1.8-9).3) Tandis que l’Église Catholique romaine considère la succession apostolique comme logiquement nécessaire pour permettre à Dieu de conduire l’Église dans la vérité, les Écritures affirment que Dieu a pourvu aux besoins de son Église par :(a) Des Écritures infaillibles, (Actes 20.32, 2 Timothée 3.15-17, Matthieu 5.18, Jean 10.35, Actes 17.10-12, Ésaïe 8.20, 40.8, etc.) Remarque : Pierre classe les écrits de Paul dans la même catégorie que les autres Écritures (2 Pierre 3.16),(b) Christ en tant que Souverain Sacrificateur éternel dans le ciel (Hébreux 7.22-28),(c) La venue du Saint-Esprit qui a conduit les Apôtres dans la vérité après la mort de Jésus (Jean 16.12-14), qui accorde des dons aux croyants pour l’œuvre du ministère, y compris l’enseignement (Romains 12.3-8, Éphésiens 4.11-16), et qui utilise la parole écrite comme arme principale (Hébreux 4.12, Éphésiens 6.17).Bien que des hommes bons (pour parler en termes humains) et d’une bonne moralité aient servi comme papes de l’Église Catholique romaine, dont le Pape Jean Paul II et le Pape Benoît XVI, l’enseignement de l’Église Catholique romaine sur la papauté doit être rejeté car il n’est pas en accord avec les enseignements de l’Église originelle relatés dans le Nouveau Testament. L’examen de tout enseignement de l’Église à la lumière des Écritures est essentiel, de peur de dévier des enseignements du Nouveau Testament concernant l’Évangile et non seulement, de passer nous-mêmes à côté de la vie éternelle au ciel, mais aussi de conduire involontairement d’autres personnes sur la mauvaise voie (Galates 1.8-9).
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