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R mur rt 2012

La RT 2012 s’appliquait à tous les bâtiments neufs depuis le 1er janvier 2013.

À compter du 1er janvier 2013, toute demande de permis de construire de bâtiment résidentiel devait être accompagnée d’une attestation de prise en compte de la RT 2012.

Tous les bâtiments à usage d’habitation, de bureaux ou d’enseignement, les établissements d’accueil de la petite enfance, étaient concernés. Toutefois, les bâtiments destinés à rester ouverts sur l’extérieur en fonctionnement habituel et les constructions outre-mer n’étaient pas soumis à la RT 2012.

La réglementation thermique RT 2020 (ou réglementation environnementale RE 2020) remplace la RT 2012 et est applicable à toutes les construction neuves à compter du 1er janvier 2022 (décret n° 2021-1004 du 29 juillet 2021). Elle s’appliquait déjà aux bâtiments publics neufs depuis 2018.

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Pourquoi la RT 2012 ?

Nouvelle étape dans la progression des réglementations thermiques

La RT 2012 a succédé aux RT 1974, 1988, 2000 et 2005.

En 35 ans, la mise en place d’une réglementation thermique a divisé par deux la consommation énergétique des constructions neuves. Le Grenelle de l’Environnement prévoyait de la réduire à nouveau grâce à la nouvelle réglementation thermique, la RT2012.

En complément, le label « très haute performance énergétique » (THPE) signale les constructions dont la performance dépasse le niveau réglementaire.

L’étape suivante sera la RT 2015, puis viendra la RT 2020, ou Bepos 2020 (pour Bâtiment à Énergie POSitive), ou encore RBR 2020 (pour Réglementation Bâtiment Responsable), qui prévoit que tous les bâtiments construits soient à énergie positive, c’est-à-dire qu’ils produisent plus d’énergie qu’ils en consomment. Cette réglementation devrait également prendre en compte la qualité de l’air intérieur et l’isolation phonique.

 

L’objectif de la RT 2012

La RT 2012 fixe un plafond de consommation d’énergie primaire de 50kWhep/(m².an).

L’énergie primaire (kWhEP) ne doit pas être confondue avec l’énergie finale (kWhEF). L’énergie finale est la quantité d’énergie disponible pour l’utilisateur final ; l’énergie primaire est la consommation nécessaire à la production de cette énergie finale. La différence provient des  pertes liées à la production, à la transformation, au transport et au stockage.

Par convention :

  • pour l’électricité : 1 kWhEF = 2,58 kWhEP ;
  • pour les autres énergies (gaz, réseaux de chaleur, bois…) : 1 kWhEF = 1 kWhEP.

L’application de la RT2012 entraînera des économies d’énergie très significatives pour les habitants. Le surcoût en construction est évalué à 10 %, mais il devrait être compensé par le gain sur la facture énergétique à moyen terme.

Les 3 exigences de la réglementation thermique 2012

La RT 2012 correspond au label BBC (bâtiment basse consommation), qu’elle remplace à compter de 2013.

La RT 2012 comporte trois exigences de résultats, définies par trois coefficients : le besoin bioclimatique (Bbio), la consommation d’énergie primaire (Cep), et la température intérieure en période de forte chaleur (Tic).

La méthode réglementaire de calcul Th-BCE-2012 ne propose pas un calcul de la consommation réelle de la construction. Elle utilise pour une part des données effectives du bâtiment (surface, types d’équipement, orientation…), et pour une autre part des données issues de scénarios conventionnels.

L’efficacité énergétique du bâtiment

L’exigence d’efficacité énergétique du bâti est définie par le coefficient « Bbio » (besoin bioclimatique), qui doit être inférieur à une valeur maximale Bbiomax.

Cette valeur maximale dépend de la région. Elle est comprise entre 42 pour la Côte d’Azur et 84 pour l’Est de la France (72 pour Paris et Lyon).

La conception du bâtiment doit ainsi limiter le besoin en énergie pour :

  • le chauffage ;
  • le refroidissement ou la climatisation ;
  • l’éclairage ;

et ce, quel que soit le système énergétique retenu.

Pour obtenir un bon indice Bbio, une maison devra donc à la fois être bien isolée (toiture, vitrages et murs extérieurs, étanchéité à l’air), et intégrer des éléments de conception bioclimatique (orientation du bâtiment pour bénéficier d’un maximum d’éclairage naturel, prise en compte de l’inertie thermique, etc.).

Valeurs de référence pour une isolation renforcée

Isolation renforcéeRT 2012RT 2020Combles ou toitureR>8R>10MursR>4R>5SolsR>4R>5

R : résistance thermique (m².K/W)

La consommation énergétique du bâtiment

L’exigence de consommation maximale d’énergie primaire est mesurée par le coefficient « Cep », qui doit être inférieur à une valeur maximale Cepmax.

Cette valeur maximale dépend de la région. Elle est comprise entre 40 pour la Côte d’Azur et 65 pour l’Est de la France (60 pour Paris et Lyon), la moyenne étant de 50 kWhEP/(m².an).

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Le Cep décrit la consommation annuelle au m² en :

  • chauffage ;
  • refroidissement ou climatisation ;
  • éclairage ;
  • eau chaude sanitaire ;
  • auxiliaires (pompes et ventilateurs).

La localisation géographique, l’altitude, l’usage du bâtiment, la surface moyenne des logements et les émissions de gaz à effet de serre (pour favoriser l’utilisation du bois et des réseaux de chaleur) sont pris en compte pour établir le Cep.

Pour obtenir un bon Cep, en plus d’un bon Bbio, il faut :

La production locale d’électricité photovoltaïque est prise en compte dans la RT 2012.

Le confort d’été hors climatisation

Un bâtiment conforme à la RT 2012 assure un bon niveau de confort en été sans avoir à recourir à un système actif de refroidissement (climatisation). La température la plus chaude atteinte dans les locaux, au cours d’une séquence de 5 jours très chauds d’été, ne doit pas excéder un seuil déterminé, Ticref.

Les clés d’une construction conforme à la RT 2012

Obligations

La construction d’un bâtiment conforme à la réglementation thermique 2012 doit respecter des exigences de moyens :

Une VMC n’est pas obligatoire, même si elle reste conseillée pour assurer une bonne aération du bâtiment.

Bioclimatisme

Une conception bioclimatique d’un bâtiment signifie de prendre en compte, dès le début du projet :

  • son exposition au vent, à la pluie, et la possibilité de l’abriter des intempéries (pente, végétation) ;
  • l’orientation des pièces et des façades pour bénéficier au maximum de la lumière naturelle ;
  • la forme compacte du bâtiment et la répartition des pièces (regroupement des locaux techniques et du garage au nord…) ;
  • la limitation du nombre d’évacuations et de ventilations.

Appliquer la réglementation thermique 2012

Prise en compte de la RT 2012 lors de la demande de permis de construire

Toute demande de permis de construire pour un bâtiment à usage d’habitation doit contenir une étude de faisabilité qui atteste de la prise en compte de la réglementation thermique 2012 par le maître d’ouvrage. L’attestation doit indiquer :

  • la valeur de son besoin bioclimatique (Bbio) et la valeur du Bbiomax de référence,
  • les éléments de conception bioclimatique du bâtiment,
  • que la surface des baies vitrées est supérieure à 1/6 de la surface de plancher,
  • la source d’énergie renouvelable utilisée.

Prise en compte de la RT 2012 à l’achèvement des travaux

À l’achèvement des travaux, le maître d’ouvrage particulier doit fournir une seconde attestation de prise en compte de la RT 2012, établie par un professionnel (architecte, diagnostiqueur pour la maison, bureau de contrôle, ou organisme de certification si le bâtiment fait l’objet d’une certification).

Cette étude thermique validera :

  • le respect des trois exigences de résultat de la RT 2012 (besoin bioclimatique, consommation d’énergie primaire, confort d’été) ;
  • la cohérence entre l’étude thermique et le bâtiment construit sur plusieurs points sensibles (isolation, étanchéité à l’air, énergie renouvelable, production d’énergie).

Conservez les factures des matériaux et des équipements utilisés pour la construction de votre habitation.

Quelle isolation pour mon projet RT2012 ?

choisir isolation maisonLa réglementation thermique RT2012, particulièrement exigeante, impose aux porteurs de projets de constructions neuves et aux parties neuves de bâtiments en réhabilitation de bien isoler l’ensemble de leurs parois en contact avec l’extérieur. La RT2012 impose une consommation en énergie primaire inférieure à 50 kWh/m² par an. Cette consommation sera modulée en fonction de la zone climatique, l’altitude et la surface du bâtiment. La RT2012 est globalement trois fois plus exigeante que la précédente RT2005, qui imposait environ 150 kWh/m² par an.

Contrairement à la RT2005, qui imposait des gardes-fou sur le niveau minimal d’isolation des parois, la RT2012 impose uniquement un niveau de performance énergétique global, laissant au concepteur le choix de sa stratégie pour y parvenir.

Les coefficients techniques des isolants

La finalité d’un isolant est de freiner au maximum le flux de chaleur. Les performances thermiques de ces isolants sont traduites par des coefficients chiffrés qui figurent sur l’emballage :

  • La conductivité thermique λ (W/m.K) exprime la faculté de l’isolant à conduire la chaleur. Plus λ est petit, plus l’isolant est performant. A noter que les isolants courants ont un λ compris entre 0,025 et 0,050 W/m.K
  • La résistance thermique R (m².K/W)  exprime la faculté de l’isolant à « résister » au flux de chaleur. Plus R est grand, plus la paroi est isolante. Il est possible d’améliorer la résistance thermique en augmentant l’épaisseur d’isolant ou en réduisant la conductivité thermique λ.

Que vous fassiez construire votre maison ou que vous la rénoviez, vous devez tenir compte de certains coefficients d’isolation. Les deux principales informations à prendre en compte sont la conductivité thermique (coefficient lambda) ainsi que la résistance thermique (R). Ces seuils sont mis en place par la Réglementation Thermique. Il existe deux types de législation : la RT existant pour les bâtiments déjà construits et la RT ou RE 2020 (remplaçant la RT 2012) appliquée pour les bâtiments neufs. Découvrez dans cet article quelles sont les normes afin de réaliser des travaux d’isolation thermique conformes à la loi !

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La conductivité thermique

Le coefficient Lambda (λ) mesure la conductivité thermique qui est exprimée en W/m.K. Elle représente la facilité que rencontre le froid ou la chaleur à traverser une paroi. Elle est propre à l’isolant et ne dépend pas de l’épaisseur du matériau. Le coefficient lambda est un critère à prendre en compte lors du choix de l’isolant.

Plus le lambda est faible, plus le matériau est isolant ! Au contraire, plus il est élevé, plus le matériau est conducteur. Un isolant performant aura donc un lambda peu élevé. La conductivité thermique est une caractéristique importante pour déterminer quel isolant sera adapté à votre projet.

Le conseil IZI

Un autre élément notable est à prendre en considération : la mention ACERMI (Association de Certification des Matériaux Isolants). Il est important qu’elle figure sur l’étiquette de l’isolant choisi. Elle est un gage de qualité des matériaux.

Quel est l’isolant thermique le plus conducteur ?

Il existe plusieurs familles d’isolants. Ils peuvent être minéraux, synthétiques ou bien naturels. Chacun de ces matériaux a ses avantages et ses inconvénients. L’idéal est de choisir un isolant en accord avec vos envies et vos projets d’isolation. Pour vous aider dans votre démarche, voici un récapitulatif des coefficients de conductivité thermique en fonction de chaque type d’isolants :

Coefficient lambda des isolants minéraux

Laine de roche0,040 W/m.KLaine de verre0,040 W/m.KVerre cellulaire0,050 W/m.K

 

Coefficient lambda des isolants synthétiques

Polyuréthane0,022 à 0,030 W/m.KPolystyrène extrudé (XPS)0,029 à 0,037 W/m.KPolystyrène expansé (PSE)0,030 à 0,038 W/m.K

 

Coefficient lambda des isolants naturels

Ouate de cellulose0,035 à 0,042 W/m.KFibre de bois0,037 à 0,049 W/m.KChanvre0,040 à 0,046 W/m.KLiège0,032 à 0,045 W/m.KLin0,037 à 0,040 W/m.K

 

La résistance thermique (R)

R est la résistance thermique, elle représente la difficulté que rencontre la chaleur à traverser une paroi. Elle est exprimée en m².K/W (kelvin par watt) et dépend de l’épaisseur (e) et de la conductivité thermique (λ). Pour obtenir la résistance thermique, il faut diviser l’épaisseur du matériau (exprimée en mètre) par la valeur lambda. Il est donc possible de doubler la résistance R d’un isolant en ajoutant une seconde couche de matériaux, si la surface le permet.

Plus R est grande, plus le matériau est isolant. Au contraire, plus la résistance est faible, plus le matériau est conducteur !

À titre d’exemple, la laine de verre dispose d’une conductivité thermique de 0,040 W/m.K. Si l’on pose 200 mm de cette laine minérale, sa résistance thermique sera égale à 5 m² K/W.

Si l’on pose autant de polystyrène (200 mm) d’une conductivité thermique de 0,032 W/m.K, sa résistance thermique sera égale à 6,25 m² K/W.

À épaisseur égale, le polyuréthane qui a un coefficient lambda de 0,022 W/m.k obtiendra une résistance thermique de 9 m² K/W.

Connaître la résistance d’un isolant permet de savoir quelle épaisseur est à prévoir pour isoler efficacement sa maison. Lors d’une isolation des murs par l’intérieur, par exemple, pensez à privilégier un isolant peu épais, avec coefficient lambda faible, pour ne pas diminuer la surface habitable de la pièce à isoler. Pour maximiser l’espace habitable de votre maison, pensez aux isolants minces (PMR) ! D’une épaisseur moindre, ils répondent cependant à de bonnes performances thermiques pour l’isolation des planchers bas et des murs.

 

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Quel R pour une bonne isolation ?

La Réglementation Thermique (RT) a mis en place des textes de loi relatifs à la rénovation thermique et énergétique des logements. Ils définissent les exigences minimales à mettre en œuvre sur les équipements et travaux suivants :

  • L’isolation
  • Le chauffage
  • L’eau chaude sanitaire
  • La régulation
  • La ventilation
  • L’éclairage

La résistance thermique en vigueur varie en fonction de trois éléments :

  • S’il s’agit d’un bâtiment neuf ou existant (RT existant ou RE 2020)
  • La zone de votre logement à isoler (combles, murs, sols)
  • Le département dans lequel se trouve votre habitation

La résistance thermique conseillée n’est pas la même pour l’isolation de la toiture que pour celle des planchers bas. En effet, les déperditions thermiques varient selon les surfaces. Plus les déperditions de chaleur sont importantes, plus la résistance thermique imposée par la RT sera élevée.

La toiture est responsable de 30 % de la perte de chaleur d’un logement, les murs d’environ 20 % et le sol de 7 à 10 %.

L’info IZI

La toute première réglementation thermique a vu le jour en 1974 ! La RT pour les bâtiments existants a été mise en place en 2007. La RT 2012 (remplacée par la RE 2020 ) concerne, elle, la réglementation en vigueur pour les bâtiments neufs. Désormais la règlementation va au-delà de la dimension thermique pour lui ajouter une dimension environnementale.

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La résistance R d’une surface rénovée doit être supérieure ou égale au niveau minimal réglementaire. Ce dernier dépend de la zone climatique dans laquelle vous habitez. Les 8 zones ont été déterminées par la Règlemntation Thermique, classées de de H1a à H3.

carte de France répartition résistance thermique RT existant

Quel R pour la toiture ?

La toiture est la principale source de déperdition de chaleur d’une habitation. Les coefficients d’isolation appliqués à cette surface sont donc les plus exigeants.

Résistance minimale en vigueur par la RT existant concernant la toiture

Surface à isoler

Zones H1A, H1B, H1C

Zones H2A, H2B, H2C, H2D et zone H3 *

Zones H3 **

Combles aménagés

 4,4

4,3

 4

Combles perdus

4,8

 Toitures-terrasses

3,3

 

* Les zones correspondant à une altitude supérieure à 800 mètres
** Les zones correspondant à une altitude inférieure à 800 mètres

Si la RT 2012 autorisait à la construction des bâtiments à faible besoin en énergie, la RE 2020 étend ses exigences à des dimensions environnementales. Elle introduit pour la première fois en plus d’une exigence énergétique, une exigence sur les émissions de carbone pendant la construction des bâtiments et une autre pendant leur période d’utilisation. Ainsi, la RE 2020 promeut des bâtiments neufs, sobres en énergie, faiblement émetteurs de CO 2, gaz responsable du réchauffement climatique, et confortables en toutes saisons, été ou hiver.

À titre d’exemple, les maisons dont le permis de construire sera déposé à partir du 1 janvier 2022, auront un Bbio max moyen de 63. Ce qui peut être équivalent à un bon niveau de résistance thermique mur/sol/toiture, et notamment des R pour la toiture de 8 à minima en zone chaude et plus élevées dans les autres zones !

L’info IZI

Bbio est le besoin bioclimatique, c’est-à-dire le besoin en énergie d’un bâtiment concernant le chauffage, le refroidissement et l’éclairage. Les résistances thermiques pour sol, murs, et toiture sont de 4-5/4-5/8-10 selon les combinaisons d’équipements et les zones climatiques !

 

Quel R pour les murs ?

Que vous ayez recours à une isolation thermique par l’intérieur (ITI) ou bien par l’extérieur (ITE), la résistance à atteindre est la même. Cependant, elle différe selon la configuration de votre logement : murs en contact avec l’extérieur ou bien murs en contact avec un volume non chauffé (garage, etc.).

Résistance minimale en vigueur par la RT existant concernant les murs

Surface à isoler

Zones H1A, H1B, H1C

Zones H2A, H2B, H2C, H2D et zone H3 *

Zones H3 **

Murs en contact avec l’extérieur

2,9

 

2,9

 

2,2

Murs en contact avec un volume non chauffé

 

2

 

* Les zones correspondant à une altitude supérieure à 800 mètres
** Les zones correspondant à une altitude inférieure à 800 mètres

Quel R pour les planchers bas ?

Les planchers bas représentent la plus petite source de déperdition de chaleur d’une habitation (avec les ponts thermiques, qui eux, sont responsables de 5 % des pertes de chaleur d’un logement). La résistance thermique appliquée est donc légèrement plus faible que pour les murs et la toiture :

Résistance minimale en vigueur par la RT existant concernant le sol

Surface à isoler

Zones H1A, H1B, H1C

Zones H2A, H2B, H2C, H2D et zone H3 *

Zones H3 **

Planchers bas donnant sur local non chauffé ou extérieur 

 2,7

2,7

 2,1

* Les zones correspondant à une altitude supérieure à 800 mètres
** Les zones correspondant à une altitude inférieure à 800 mètres

L’info IZI

À compter du 1er janvier 2023, l’ensemble de ces exigences thermiques relatives à l’isolation des bâtiments existants sera revu à la hausse !

⚠️ Pour pouvoir bénéficier des aides financières de l’État, les seuils de performances sont plus élevés : 

  • Pour les murs : R ≥ 3,7
  • Pour les combles perdus : R ≥ 7
  • Pour les combles aménagés : R ≥ 6
  • Pour les planchers bas : R ≥ 3
  • Pour les toitures terrasses : R ≥ 4,5

Être informé de ces coefficients d’isolation, vous permet d’avoir un œil avisé sur vos projets de rénovation ou d’isolation. Une résistance thermique respectée garantit un confort optimal de votre logement, tout au long de l’année : été comme hiver. Avec une meilleure isolation, vous réalisez d’importantes économies sur vos factures de chauffage. Pour votre projet, nous vous recommandons d’entreprendre vos travaux d’isolation aux côtés d’un professionnel agréé RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). En effet, en plus d’une garantie de travaux réalisés selon les normes en vigueur, cette qualification vous permet de profiter de nombreuses aides financières de l’État !

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